Voyage dans le passé #3, ou comment perdre un bras

27h de bus, donc. 1620 minutes. 97200 secondes. Un peu plus d’un tour de la Terre sur elle-même. Environ 1550 km. Une paille.
L’avantage au Chili, c’est que les bus sont quand même super confortables (enfin, ça dépend desquels, vous verrez plus tard); le désavantage, c’est qu’ils sont chers. Donc en achetant le billet de bus pour un siège inclinable (même pas un siège TRES inclinable),j’ai déjà laissé ma main dans l’histoire.

Avant de partir, je pensais passer un mauvais moment dans le bus. Pas pouvoir réellement dormir, pas manger vraiment (les « repas » offerts par la compagnie ne remplissant pas un estomac digne de ce nom; pour ceux qui connaissent, les repas dans les avions sont plus consistants). Conditions parfaites pour finir affamé, fatigué et très énervé. Et bien pas du tout. Je ne vais pas dire que j’ai dormi comme dans mon lit XXL de Clichy, ni que j’ai bien mangé, mais vu que ce poisson pas frais du port de Valpo avait mis mon estomac et tout mon système digestif à l’épreuve (pendant les deux jours précédents) donc un peu de fièvre et un peu de fatigue m’ont aidé à dormir, et mon système digestif ne reclamait pas de la grande bouffe riche. En somme, c’est le meilleur trajet de tout mon sejour. (Au moment où j’ecris il me reste une cinquantaine d’heures de bus pour rejoindre Buenos Aires et je ne pense pas vivre un trajet comme celui-ci). La victoire du poisson pas frais sur le trajet de bus, ou comment avoir du positif dans le négatif.
L’arrivée a 2h du matin à San Pedro annonce une chose : la galère pour trouver un hotel, une chambre d’hote ou un camping. Et à la descente je me retrouve avec un québécois, Jean-Philippe, qui est déjà venu ici, une chilienne, Maria-Jesus, et un couple de suisses: Nathalie et Arnold. Mission: trouver où dormir. Après quelques portes closes, on trouve une petite maison avec quelques chambres libres. Le tout pour plus de 10 euros par personne. AIE.
Extinction des feux vers 3h dans la nuit du vendredi à samedi. La journée ne sera pas réellement productive, à part pour chercher des activités sympas et pas trop chères. Peine perdue ici. Sauf la bouffe. On arrive à se faire des bonnes courses pour de bons repas et des jus de fruits frais, en effet il y a un mixer à l’hotel. Retour et tentative de mixage de fruits. L’appareil ne fonctionne pas, on essaie tout ce que l’on peut. Rien. Il est pourtant plein de fruits, de sucre, de glaçons… on laisse tomber pour s’occuper du repas, et puis Jean-Philippe essaie une dernière fois le mixer, et ô miracle, ça fonctionne, on pourra donc deguster un bon jus de fruits (qui ne fait que donner un avant goût du Pérou et de la Bolivie, pays des jus de fruits frais). L’aprèm sera dédiée aux recherches de tour, et aux indécisions vu les prix. Finalement, je ferai 2 sorties: la vallee de la  muerte (la vallée de la mort, mais en fait à la base c’etait pas du tout ce nom là) et la vallee de la luna (vallée de … la Lune évidement), et les geysers du Tatio. C’est là que je perds l’avant bras et le bras.

Pour la première sortie dans les deux vallées, je ne peux que vous dire d’attendre pour voir les photos, cela sera plus marquant que ce que je pourrais (mal) écrire sur ce sujet.

Pour les geysers, à posteriori, c’était bien.
Les points negatifs sont nombreux: réveil à 3h45, pour finalement pas grand chose, en tout cas pour moi, parce que nous sommes arrivés de nuit, donc impossible de prendre de photo pendant une heure… super genial, vu le prix que l’on a payé ça fait cher l’heure inutile… baignade dans les eaux chaudes. 45 personnes dans une petite piscine … très peu pour moi. Ensuite petit tour dans le parc naturel pour voir quelques animaux, des volcans, et un petit village, idée très bonne, sauf que toutes les agences font le même circuit, donc ça devient une caravane de mini bus et de jeep… donc vraiment naze.
les points positifs : balade au milieu des geysers plus impressionnants qui me tendaient leurs fumées avec un super lever de soleil. Très (très très) bonnes photos je crois. Ca va peut-être rentabiliser la sortie si j’arrive à en vendre quelques unes. En plus, la plupart des touristes étaient en train de barboter dans les eaux chaudes, donc jétais tranquille. Et les paysages sont magnifiques. Nous sommes juste en face de la Bolivie, ça annonce de belles choses pour plus tard.

Je rentre bien dégouté, au camping (oui entre-temps nous avons changé de lieu). La visualisation des photos me redonne un peu le moral, et l’après-midi qui suit dans le camping va aussi aider. Bonne ambiance, musique, gens chouettes.
Le soir, bus pour Arica (dernière ville avant le Pérou). Tout était bien parti pour un bon trajet, jusqu’au moment où j’ai cru me sentir mal: 45 personnes dans le bus, qui essaient de dormir ou y arrivent avec … du chauffage. Il faisait 27º dans le bus. Horrible, air vicié en plus, j’ai cru etouffer. A un arrêt je demande au chauffeur pourquoi il y a du chauffage et si il peut le baisser ou faire quelque chose. Je prends l’air, remonte dans le bus, aucun changement… super… 5 minutes plus tard, on a eu droit a 2 minutes de clim’ à fond… encore plus super… comment choper la crève en une leçon… vive le Chili. Je réussis à dormir encore un peu avant l’arrivée à Arica.
Le Chili n’a pas encore donné toute sa puissance de contradiction et d’incohérence. Il existe un train entre Arica et Tacna au Pérou. Parfait pour passer la frontière, après l’épisode de la nuit en bus je me dis que ça pourrait être génial. Taxi pour la gare ferroviaire et là, grosse blague:
le premier train est à 8h30 et la billeterie n’ouvre pas avant 10h et le seconde est à 20h… grille fermée donc pas moyen d’entrer dans la gare pour attendre le train et essayer de passer sans payer (je pense que même les amendes ne sont pas insurmontables) Donc train oui, mais sans pouvoir le prendre. Ca sera donc encore du bus.
Le plan était de me poser un peu à Tacna (ville absolument pas touristique) pour préparer la suite du voyage, mais trouver un hotel sans guide touristique qui t’en indique un ou deux, cela revient à prendre un taxi et les faire les uns après les autres… Abandon du projet. Résultat je prends un bus pour Arequipa. Mon premier vrai arrêt au Pérou.

Avr 19, 2010 | Posté par dans Pérégrinations | 1 commentaire

Voyage dans le passé #2

Après l’Argentine, il faut s’attaquer au Chili.

Ca commence par 1h de retard au départ du bus, il faut que ça arrive le lendemain de ma despedida (fête de départ), c’est à dire le matin où t’as réellement besoin de sommeil, et absolument pas de te taper 8h de bus…
Logiquement, pour le départ de Mendoza la règle c’est évidement de faire … un asado bien sûr! Et bien pour le coup, on a fait une tartiflette!! En plein été, en Argentine, avec une Dama Juana de chablis (bouteille de 5 litres que tu peux échanger, on en utilisait avant en France) et du Fernet Coca (logique). Soirée super chouette avec évidement le maitre de maison Olivier, Fred, Sandra la guide de montagne, Marcus le suisse, Cédric, Sam le chasseur de castor (enfin il ne l’etait pas encore ce soir là), Arandu la paraguayen, Juan, Laura, et Tegan et Andrew les canadiens.

Il y avait juste ce qu’il fallait de tartiflette même si elle avait un gout de reviens-y!!
Le début du voyage, donc, se passe dans les vignes avec vu sur la cordillière, puis directement dans les montagnes. Juste avant la frontière, quand on regarde les montagnes qui sont de part et d’autre de la route, on a l’impression de voir des soucoupes volantes, toutes en pierre, écrasées dans le sable et la terre, c’est très bizarre et impressionnant.
Après les 2 heures (!!) de passage à la douane nous entamons la descente. Pour certains, on pourrait appeler ça la descente aux enfers: 31 virages de descente les uns à la suite des autres, parfois à plus de 180º!! Si tu as la chance (ou le malheur) d’être devant, à l’étage du bus, alors tu as l’impression, à chaque virage, d’être au-dessus du vide (et en fait, ce n’est pas qu’une impression).
Ensuite, la vallée. Après la descente aux enfers, on a l’impression qu’on s’est planté de route, parce qu’on est loin des 9 cercles de Dante ou ce genre de choses. C’est luxuriant, ensoleillé avec des petites collines vertes partout, des palmiers, des arbres fruitiers, un peu de vignes, des champs verts, … Si l’enfer ressemble à ça, je ne vais pas forcément faire attention à mon karma, c’est vraiment magnifique!!
Bon, après on arrive dans des villes de plus en plus grande, le charme s’évanouit petit à petit jusqu’à disparaitre en arrivant à Viña Del Mar.
Viña ou l’idiotie à l’usage du tourisme balnéaire. On ne va pas lancer la pierre, nous avons la même chose sur nos côtes, mais ça fait quand même très mal de voir ces énormes tours pour touristes friqués chiliens (Viña est la station balnéaire la plus prisée des stars de la TV chilienne). Donc, arrivée dans cette ville avec presque 3h de retard. Et, à ce moment là, je maudis la compagnie; mais pas pour longtemps. Nous partons un peu après, histoire d’avoir un retard de 3h pile, c’est mieux pour les statistiques. Et de Viña à Valparaiso, la route longe l’océan, il est 20h.
Et là, pendant 10 minutes, je vois le plus beaucoup coucher de soleil de ma vie, indescriptible, les photos parleront d’elles-mêmes.

Je ne parlerai pas du tremblement de terre, j’en ai déjà parlé ici

Au Chili, j’ai été hébergé par Olivier, un expat’ qui a fait 6 mois d’échange avec son école et qui fait 6 mois de stage en plus. C’est dans sa maison que l’on était pendant le terremoto. J’ai donc, fait la connaissance, grâce à lui de Martin (le stagiaire imaginaire) et Fanny, de  Sebastian et Boris les frangins chiliens, de Arnaud un autre expat qui a eu le malheur de s’installer à Viña avec les deux autres français de son école qui sont en échange aussi et de Charlotte que j’ai croisé seulement deux jours car elle rentrait de voyage.

Les jours qui ont suivi le tremblement de terre, la ville a éte comme morte: nee pas trouver un seul lieu ouvert pour manger un samedi soir alors qu’il n’est même pas minuit, en amérique du sud, c’est inconcevable. Et pourtant… Avec Martin et Boris, nous avons essayé dans tout le quartier et aux alentours. Rien. Seules deux botellerias étaient ouvertes. On a fêté ça avec du vin, de la bière et des chips. De la grande gastronomie…
L’avantage de la ville morte, c’est que l’on peut, quand on prépare un minimum, faire un asado en plein milieu de la rue un dimanche soir. A peine deux voitures sont passes pendant les quelques heures du barbeuk! C’était vraiment chouette.

Les jours suivant se déroulent tranquillement, de la visite de ville, des photos, un poisson pas frais, des soirées dans des appartements grands comme des châteaux, un déménagement de gens inconnus, un plouf rapide dans l’océan Pacifique: l’eau devait être à 15 ou 16º, c’est trop peu pour moi. Bref des bonnes choses. Et évidement, les bonnes choses ont une fin. La fin c’est 27h de bus jusqu’à San Pedro de Atacama.

Avr 17, 2010 | Posté par dans Pérégrinations | 0 commentaire

Il faut déjà penser au retour

Il se trouve que depuis quelques temps je bouge beaucoup, et je n’ai pas forcément le temps de passer par ici pour écrire de gros articles. En plus, je fais beaucoup de trucs super chouettes. Comme passer une nuit à être malade, passer des heures dans les bus qui ont des soucis d’amortisseurs ou de jouer les infirmiers pour les autres gens malades. La Bolivie c’est super!
Blague à part, oui, j’ai fait des trucs géniaux. Beaucoup, et le problème, c’est que je n’ai pas le temps pour tout raconter. Ca sera d ailleurs pour plus tard.

Là, c’est mon dernier jour dans la capitale constitutionnelle de la Bolivie,  Sucre. Ce soir, direction Cochabamba pour mes derniers jours boliviens, le voyage se termine très bientôt et évidement je ne ferai pas tout ce que j’avais prévu. De Cochabamba je vais me taper environ 50h de bus (pas tout d’un seul coup, mais presque) pour redescendre à Buenos Aires pour prendre l’avion qui me ramènera en France.

Sentiment partagé entre l’envie de rentrer retrouver tous les gens que j’aime et qui me manquent, et l’envie de rester pour aller faire des treks dans le nord de l’Argentine, aller voir les chutes d’Iguacu ou de partir dans la jungle bolivienne, ce genre de choses super cool que je ferai l’an prochain!

Mais il y a plein de choses cools en Europe que je veux faire; et d’autres que je dois faire aussi (et en général, celles-ci sont moins funky que les autres).
Et j’ai une idée d’exposition sur le voyage; l’idée pourrait être géniale, mais je pense que je vois trop grand, enfin même si j’arrive à faire juste la moitié ça sera déjà très très bien!! Je n’en dis pas plus pour l’instant, il faut d’abord que je vois si j’ai assez de matière et si le thème est suffisament pertinent.

Le retour en France pourrait être parsemé de voyages (encore) de concerts et de séances photos. Si en plus il y a un ou deux tournages par ci par là, cela pourrait vraiment être un retour parfait !!

Les prochaines photos seront en ligne quand je serai rentré!!

Avr 14, 2010 | Posté par dans Pérégrinations | 2 commentaires

#8

Est dans la ville la plus haute du monde STOP
A été sur la molaire du Diable, et il a bien besoin de voir un dentiste STOP
Va visiter les mines de Potosi STOP
A envie d’une énorme planche de fromage/charcuterie avec un bourgogne de derrrère les fagots STOP
A des envies de concerts et de séances photos POINT

Avr 3, 2010 | Posté par dans Télégrammes | 4 commentaires

#7

A du retard dans ses articles  STOP
A du retard dans ses photos  STOP
Trouve que La Paz est une ville vraiment particulière  STOP
Ne va pas poster énormément dans les prochaines semaines  STOP
Entame son dernier mois de voyage POINT

Mar 31, 2010 | Posté par dans Télégrammes | 2 commentaires

#6

La télévision sud-américaine c’est quand même quelque chose (La vie est belle c’est du high level pour eux)STOP
A vécu sa première VRAIE pluie depuis Buenos Aires STOP
A joué les touristes pendant 15 minutes dans une boutique à Arequipa STOP
Va se faire une ballade de 4 jours dans la Vallée Sacré des Incas POINT

Mar 15, 2010 | Posté par dans Télégrammes | 2 commentaires

Voyage dans le passé #1

Ce n’est pas forcément évident de raconter un voyage, encore plus quand on ne poste pas regulièrement.

Quand j’essaie de repenser à tout ce que j’ai fait à Cordoba et Mendoza, je me rends compte que mes journées ont été peu remplies. Vacances totales. Ces trois semaines se résument à quelques mots:
asados, ballades, siestes, photos et rencontres.

L’asado, en Argentine, c’est comme le fútbol: c’est une religion. Pour faire simple c’est un barbecue. Et la viande est tellement peu chère que tu peux en faire tous les jours ou presque. Entre Cordoba et Mendoza j’ai bien dû en faire une dizaine. Et si l asado est une religion, le fernet-coca et le malbec en sont les saints les plus importants.
Le fernet est un alcool de plante pas mauvais, mais bon… Ils le mélangent avec du coca et plein de glaçons. Evidement je n’ai pas gouté, les bulles n’étant pas mes amies.
Et le malbec… Aaaah, le malbec!! LE cépage de vin rouge par excellence en Argentine. Et bordel, qu’est-ce que c’est bon!!! Je vais essayer d’en ramener une ou deux bouteilles en France.
Et puis comme je le disais il y a quelques jours, Mendoza est la capitale du vin Argentin (et capitale mondiale du malbec). J’ai donc fait la visite de quatre bodegas. Ceux sont les chateaux en Argentine et le tiers des bodegas de Mendoza au moins appartient a des français d’ailleurs. Visite en vélo, sous le soleil. Evidement, coup de soleil et mal au cuisses. Mais aussi de bonnes dégustations, et une découverte : le torrontes. Cépage de blanc que l’on a pas en France et j’en suis tombé amoureux. Il faut absolument que j’en trouve!
En plus de la visite des bodegas, à Mendoza j’ai fait une petite ballade autour du lac de Potrerillos, magnifique, et j’ai fait trempette dans les eaux chaudes et thermales de Cacheuta.
A Cordoba, visite du centre de la ville (patrimoine mondial de l’Unesco) et de plein d’églises évidement. J’ai aussi visité une estancia jésuite dans une petite ville a 45min de Cordoba, qui s’appelle Alta Gracía, classée au patrimoine également. Visite très sympathique. Chouette batisse!
Et à Alta Gracía, il y a le musée du Che; il retrace toute sa vie, c’est plutôt pas mal mais ça ne vaut pas le prix de l’entrée.

Encore une chose à propos de Cordoba. Je crois que c’est dans cette ville qu’il y a les plus belles argentines.

J’ai quitté l’Argentine depuis quelque semaines et j’ai déjà envie d’y retourner.
Heureusement que Cusco « la Rome des Incas » est une ville magnifique, ça aide!

Mar 14, 2010 | Posté par dans Pérégrinations | 1 commentaire

Au suivant

Tout d’abord une annonce pour les gens qui attendent impatiemment les photos postales (je suis sûr qu’il doit y avoir au moins une personne qui attend frebrilement le facteur):
il n’y aura pas d’envois. En effet, j ai pour l’instant tres peu de photos postales de prêtes et le temps d’arrivee du courrier en France est apparement assez long. Donc je donnerai les photos postales directement aux personnes à mon retour en France.

J’ai quitté le Chili. C’est chouette, j’ai vécu une expérience impressionnante et je me suis bien fait arnaqué comme un bon touriste à San Pedro de Atacama, donc je me suis cassé rapidement. Je suis actuellement à Arequipa, au Pérou. Je ne vais pas y rester longtemps, mais j aurai le temps d’y revenir (enfin je dis ça mais tout peut arriver).
Je vais partir à Puno (sur le lac Titicaca) ou à Cuzco, je ne sais pas encore. En tout cas je vais faire les deux, le seul truc est de savoir lequel je fais en premier.
Le Machu Picchu est toujours officiellement fermé, mais j’ai entendu dire que quelques touristes pouvaient y monter, je vais essayer d’y passer, même si ça coute un bras. J’en ai déjà perdu un à San Pedro en un week end, il me reste l’autre pour le MP. Ensuite donc, vers la fin mars, je serai à La Paz pour entamer les 3 semaines (en gros) de Bolivie et ensuite courir le nord de l’Argentine pour rentrer à Buenos Aires.

Je n’aurai clairement pas le temps de faire tout ce que je voulais mais ça sera l’occasion d’y revenir l’année prochaine.

J’essaie de poster des photos dans les jours qui viennent.

Mar 10, 2010 | Posté par dans Pérégrinations | 2 commentaires